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Hussard de la mort français
Les hussards de la mort était des volontaires de la période révolutionnaire, qui se sont équipés à leur frais pour combattre contre les coalisés.
Ils choisirent une tenue frappée de la tête de mort et des fémurs croisés, pour répondre à la provocation du duc de Brunswick, qui à la tête de ses hussards de la mort, menaçait de se venger sur les parisiens si l'on touchait à la tête du roi.
Envoyés en Vendée il se rendirent coupables des pires exactions, au nom de la république.
Le général Tureau adresse à la convention la terrible dépêche :"Si nos intentions sont bien secondées, il n'existera plus dans la Vendée, sous quinze jours, ni maisons, ni subsistances, ni armes, ni habitants". C'est un génocide avant l'invention du terme.
Après quelques mois d'existence, les rescapés des hussards de la mort français furent versés dans un régiment de cavalerie légère.
La tenue est noire, une couleur quasiment inutilisée sous l'Empire, sauf pour le génie et encore comme distinctive.
Les têtes de mort ne font pas non plus partie de la panoplie habituelle du militaire français.
Pelisse troupe, avec emblèmes sur les bras, bordée d’astrakan de récupération